cabinet-immo https://www.cabinet-immo.com Immobilier, investissement, décoration Wed, 24 Sep 2025 09:50:47 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.7.3 Les couleurs de mur à la mode à l’automne 2025 https://www.cabinet-immo.com/2025/09/24/les-couleurs-de-mur-a-la-mode-a-lautomne-2025/ https://www.cabinet-immo.com/2025/09/24/les-couleurs-de-mur-a-la-mode-a-lautomne-2025/#respond Wed, 24 Sep 2025 09:50:47 +0000 https://www.cabinet-immo.com/?p=1040 Si vous envisagez de repeindre votre appartement cet automne 2025, notez que les tendances se tournent vers des teintes chaleureuses. Elles s’inspirent de la nature et des épices. Elles apportent du confort, ne sont pas criardes, créent un intérieur moderne et cosy.

Les couleurs à accueillir chez soi

Les palettes de couleurs à la mode sont les tons terreux, épicés et naturels. Ils créent une ambiance enveloppante en automne.

La terracotta et paprika doux

Ces nuances terreuses et fumées, comme un orange rouillé ou un rouge épicé, réchauffent les espaces et évoquent les feuilles d’automne. Elles sont parfaites pour un mur d’accent dans un salon ou une chambre. Associez-les à des matériaux bruts comme le rotin ou la laine.

Brun chocolat ou mocha

Ce sont des bruns gourmands et chauds qui remplacent les tons neutres froids comme le gris. Ils apportent de l’élégance et du réconfort, surtout dans une entrée ou une cuisine. Pensez à une combinaison avec des bois clairs.

Vert olive ou pistache

Ce vert doux et organique apporte pour une touche apaisante à votre décoration. Il se marie bien avec le beige ou le jaune. Cette couleur est faite pour une chambre ou un bureau.

Abricot ou curcuma

Ces jaunes-orangés solaires et joyeux dynamisent la pièce sans la surcharger. Ils s’associent à des blancs cassés pour donner naissance à un effet lumineux. Ils sont parfaits pour une cuisine ou un couloir.

Le bleu crépusculaire

C’est un bleu profond, entre bleu nuit et bleu gris. Il instaure dans la pièce une atmosphère feutrée. Posez-le dans un salon pour créer un cocon élégant. Mariez-le avec du rose saumon.

Rose saumon ou rouge cerise

Avec ces couleurs, vous ajoutez une note feutrée et moderne à la pièce. Elles adoucissent une chambre, surtout si vous les associez à du bois couleur miel.

Les couleurs à bannir de son appartement

Oubliez le bleu canard, le rose poudré et le rouge laqué. En plus d’être démodées, ces couleurs lassent facilement. Aux oubliettes également le gris neutre, le violet vif ou doux, et le vert sauge qui sont trop tristes pour la saison.

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Achat en EHPAD : points clés à étudier pour réussir son investissement https://www.cabinet-immo.com/2025/09/08/achat-en-ehpad-points-cles-a-etudier-pour-reussir-son-investissement/ https://www.cabinet-immo.com/2025/09/08/achat-en-ehpad-points-cles-a-etudier-pour-reussir-son-investissement/#respond Mon, 08 Sep 2025 18:34:09 +0000 https://www.cabinet-immo.com/?p=1033 L’investissement en EHPAD est très intéressant en raison de l’accélération du vieillissement de la population française. D’après les prévisions, le nombre de personnes dépendantes d’ici 2050 augmentera de 48%. Rien que cette année, le besoin de 500 000 places supplémentaires n’a pu être satisfait. On ne s’étonne donc pas que ce secteur offre des rendements attractifs de 4% à 5,2% bruts, malgré une crise de confiance post-scandale Orpea. Le marché est structurellement solide grâce à une demande garantie à long terme. Vous devez cependant faire une sélection minutieuse des gestionnaires et bien choisir les implantations géographiques pour profiter de cette rentabilité élevée et moins vous exposer aux risques.

Comment bien choisir un EHPAD avant d’acheter ?

Le choix du lieu est primordial, mais insuffisant. Vous devez aussi évaluer la rentabilité de l’EHPAD. Pour ce faire, comparez les loyers garantis et leur indexation avec tous les coûts (achat, charges, impôts). Puisque c’est assez compliqué, surtout si vous êtes débutant, il vaut mieux vous faire accompagner par un professionnel comme Revenu Pierre, qui veillera au grain. Assurez-vous que le rendement net est en permanence conforme aux standards du marché (de l’ordre de 5% à 6 %) et qu’il couvre vos objectifs financiers.

Implantation de la résidence : critère essentiel

On recense en France un déficit structurel d’offre de places en EHPAD. Quasiment tous les établissements existants sont donc pleins et sont obligés de dresser des listes d’attente. Cela réduit le risque de vacance locative, quel que soit l’emplacement géographique. Il n’en demeure pas moins que la localisation est le premier critère de choix : optez de préférence pour un EHPAD situé dans une ville ou une commune bien desservie et pas trop isolée.

La proximité des services de santé (hôpital, pharmacies) et de la famille (facilitant les visites) est très importante. Vérifiez toujours la démographie locale (nombre de retraités, population âgée) et le dynamisme du secteur médical avant de faire une acquisition.

Évaluer les coûts et la rentabilité d’un achat en EHPAD

Analysez les coûts et les revenus pour mesurer la rentabilité de l’investissement en EHPAD.

Le coût d’acquisition

Il comprend le prix de la chambre, les frais de notaire (environ 8 % du prix hors taxe) et les éventuelles commissions d’agence. Comme pour tout achat immobilier neuf, la TVA de 20 % est généralement récupérable (grâce au statut LMNP), ce qui réduit le coût net.

Un loyer garanti

Dans un bail commercial, le gestionnaire (exploitant de l’EHPAD) s’engage à vous verser un loyer fixe, généralement trimestriellement, même si la chambre est momentanément vacante. Cette clause vous assure un revenu en toute circonstance. Les loyers sont ensuite indexés chaque année (souvent selon l’indice des loyers commerciaux, ILC ou ICC) pour tenir compte de l’inflation.

Les charges et l’entretien

Selon le bail, l’exploitant prend en charge l’entretien courant de l’établissement (prévu à l’article 605 du Code civil), tandis que vous êtes responsable des gros travaux (article 606). Il faut intégrer dans votre calcul de rendement la quote-part de copropriété qui vous incombe (taxe foncière, assurances du bâtiment, etc.).

L’estimation du rendement net

D’une manière générale, les EHPAD offrent des rendements nets attractifs, souvent situés entre 4 % et 6 % par an. Certains rapports indiquent 7 % nets en moyenne. Ce rendement se calcule en divisant le loyer annuel par le coût total investi. Grâce au bail de 9 ans et à l’indexation, ce revenu est relativement stable.

Avantages fiscaux

Sous le statut LMNP, vous pouvez amortir le prix du bien (murs) et le mobilier, ce qui réduit le revenu imposable. Ces amortissements créent souvent un déficit fiscal qui s’impute sur votre revenu global ou se reporte sur plusieurs années. Ce mécanisme permet de doper le rendement après impôts.

Quel statut fiscal choisir ?

Lorsque vous investissez en EHPAD, vous devez vous placer sous le régime de la location meublée. Deux grands statuts sont possibles : LMNP (Loueur Meublé Non Professionnel) ou LMP (Loueur Meublé Professionnel).

Dans la majorité des cas, on privilégie le statut LMNP qui est plus accessible et moins lourd administrativement. En LMNP vous pouvez déduire les amortissements du bien et du mobilier, ce qui réduit l’imposition de vos revenus locatifs.

Le statut LMP s’acquiert quant à lui dès lors que vos loyers dépassent 23 000 € par an et représentent plus de 50 % de vos revenus du foyer. Ce statut professionnel (souvent réservé aux investisseurs très actifs) permet de transformer vos revenus en BIC professionnels et d’opter pour un régime réel d’imposition.

LMNP : la solution la plus courante

En LMNP, vos revenus locatifs restent « non professionnels » tant qu’ils ne dépassent pas 23 000 € annuels ou 50 % du revenu du foyer. Ce statut vous permet de choisir entre le régime de micro-BIC (abattement forfaitaire de 50 %) ou le régime réel.

En régime réel, vous déduisez l’amortissement de l’acquisition (murs et mobilier) de votre résultat ce qui vous permet de créer un déficit reportable (10 ans par exemple). Cette déduction des amortissements est le principal atout fiscal du LMNP.

LMP : pour les investisseurs avertis

Le statut LMP survient automatiquement si vous remplissez les critères susmentionnés (plus de 23 000 € de loyers et plus de la moitié des revenus) ou si vous vous inscrivez au Registre du Commerce.

En LMP, les revenus sont déclarés en BIC « professionnels » et vous optez impérativement pour le régime réel. Vous bénéficiez toujours de l’amortissement du bien (déductible sans plafond). Vous bénéficiez également de l’exonération d’Impôt sur la Fortune Immobilière (IFI) pour les biens professionnels et, sous conditions (chiffre d’affaires locatif inférieur à 90 000 €), de l’exonération totale de la plus-value immobilière à la revente.

Vous avez aussi des obligations : comptabilité professionnelle assez lourde, cotisations sociales possibles si inscription au RCS, etc.

Le LMP est donc surtout intéressant pour un investisseur qui dégage des loyers élevés et qui souhaite optimiser sa fiscalité globale.

Choix du gestionnaire : un élément crucial à ne pas négliger

Dans l’investissement en EHPAD, c’est le gestionnaire (exploitant) qui prendra en charge l’exploitation quotidienne de la résidence (soins, accueil, entretien) et qui vous versera les loyers. Le succès de votre placement ne dépend pas seulement du prix d’achat ou du rendement affiché, mais aussi de la solidité du gestionnaire. Autrement dit, même si la chambre est très bien située ou achetée à bon prix, votre investissement ne vaut rien si l’exploitant ne paie pas les loyers. Par conséquent, il faut examiner attentivement la santé financière, l’expérience et la réputation de l’opérateur que vous sélectionnez.

Solidité financière : un gage de sécurité

Commencez par analyser les comptes de la société exploitante : fonds propres, dettes, trésorerie et évolution du chiffre d’affaires.

Les grands groupes cotés disposent généralement d’une assise financière solide grâce à leurs actionnaires institutionnels ou leurs filiales immobilières. En revanche, méfiez-vous d’une capitalisation fragile, d’une dette élevée, des nombreuses restructurations, ou de cessions répétées d’EHPAD. L’exemple de la faillite de MediCharme en 2024 illustre bien ce danger : la société a été liquidée, ce qui a entraîné la suspension des loyers pour les investisseurs qui y étaient associés. Evitez ce genre de problème en favorisant un exploitant dont le bilan est sain et qui a déjà traversé des cycles de crise. Vérifiez aussi qu’il dispose de lignes de crédit ou que ses actionnaires sont capables d’injecter des fonds en cas de besoin.

Expérience et réputation : éviter les mauvaises surprises

Les opérateurs historiques de la dépendance ont des réseaux étendus, une politique de qualité et un process qui fonctionne. Ces groupes investissent souvent dans la modernisation des établissements et recrutent du personnel qualifié, ce qui se traduit par des labels qualité (Qualicert, etc.) et de bons retours des usagers. Recherchez les avis des familles et la notoriété du gestionnaire : il n’y aura pas de conflit entre un EHPAD avec une bonne réputation et vous. À l’inverse, les petites structures peu connues peuvent être tentantes en raison d’un rendement alléchant, mais elles présentent un risque élevé de défaillance ou de revente compliquée.

Vous pouvez vous reposer sur la règle des « 5 piliers » pour identifier un bon gestionnaire : fiabilité financière, qualité de service, transparence, respect du bail et flexibilité lors de la revente. Privilégiez la réputation et l’historique de l’exploitant. En effet, un opérateur ayant déjà renégocié plusieurs baux à la baisse, ou qui fait l’objet d’enquêtes sanitaires est à éviter.

Le bail commercial : un contrat à analyser en détail

Le bail commercial signé entre vous et le gestionnaire, d’une durée généralement de 9 ans au minimum, définit vos obligations et celles du gestionnaire.

Durée et loyer

Vérifiez la durée initiale, la date de prise d’effet et la clause d’indexation du loyer (souvent liée à l’Indice des Loyers Commerciaux). Un loyer trop bas ou un mécanisme d’indexation défavorable peut grever vos gains. Notez aussi la fréquence de paiement (trimestriel, semestriel, etc.).

Répartition des charges

Le bail précise habituellement que l’exploitant prend en charge les dépenses courantes (art. 605 du Code civil : entretien, petits travaux) tandis que le propriétaire supporte les gros travaux (art. 606 : grosses réparations). Assurez-vous que ces clauses sont bien détaillées dans le bail pour éviter les coûts supplémentaires.

Obligations du gestionnaire

Le contrat peut inclure des engagements de qualité (nombre de soignants, cahier des charges médical) et des garanties (dépôt de garantie, assurance de l’exploitant). Vérifiez qu’elles sont conformes aux normes de l’ARS et du Département.

Renouvellement et résiliation

Les modalités de renouvellement (loyer au palier suivant, préavis) et les conditions de résiliation anticipée sont rares en EHPAD. Il n’en demeure pas moins que vous devez noter les clauses de revente éventuelle ou de cession du bail. Par exemple, certains baux protègent l’investisseur en cas de changement de gestionnaire.

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Faire un rachat de crédit en étant inscrit au FICP: est-ce possible ? https://www.cabinet-immo.com/2025/03/17/faire-un-rachat-de-credit-en-etant-inscrit-au-ficp-est-ce-possible/ https://www.cabinet-immo.com/2025/03/17/faire-un-rachat-de-credit-en-etant-inscrit-au-ficp-est-ce-possible/#respond Mon, 17 Mar 2025 13:24:07 +0000 https://www.cabinet-immo.com/?p=1026 Si vous avez eu des soucis de remboursement sur un prêt que vous avez contracté, ou que vous avez fait un paiement par chèque alors que votre compte bancaire manquait de provision, vous serez fiché au FICP. C’est là où on enregistre tous les cas d’incidents concernant les paiements et les remboursements sur le marché financier. Ce fichier se trouve au niveau de la Banque de France et est mis à la connaissance de tous les organismes financiers sur le territoire français et ailleurs. Si vous êtes dans cette liste, il vous est difficile d’accéder aux diverses offres des établissements financiers, y compris les demandes de prêt et le rachat de crédit. Cependant, il existe des situations exceptionnelles où on peut vous accorder un rachat de prêt dont les informations sont à connaitre à l’avance.

Que dit la loi sur le sujet ?

Quand on parle de rachat de prêt, il est difficile d’y accéder si vous êtes enregistré à la liste du FICP. Ce type de fiche est en effet, informé à chaque incident constaté par les organismes financiers se trouvant sur le territoire français. Son objectif est d’éviter ou de réduire les risques de surendettement et de paiement sans provision. Cela permet aux différents organismes financiers d’être informés et d’avoir une liste de toutes les personnes à risque et qui ont des soucis financiers. Dans ce cas, une personne est automatiquement fichée, s’il n’effectue pas 2 remboursements de mensualité successifs sur un prêt qu’elle à contracter. Elle sera également enregistrée si on constate un découvert de 500 euros et plus sur son compte et que la banque a déjà procédé à une mise en demeure. L’enregistrement fait suite à un non paiement pendant 2 mois dans ce cas. Le cas sera aussi le même s’il y a eu injonction du prêteur, mais que vous avez omis ou refusé de vous acquitter de vos dettes. Et enfin, on peut aussi être fiché dans le FICP si on n’a émis un chèque sans provision et que pendant le retrait, la banque a refusé le paiement. Toutefois, il est du rôle de l’organisme financier de toujours vous aviser concernant le souci de paiement ou de remboursement constaté. Vous aurez alors, 1 mois pour résoudre et régulariser le méfait avant un enregistrement définitif au FICP. De ce fait, si vous trouvez une solution avant les 30 jours, il est possible de recourir à un rachat de prêt. Autrement, les procédures de demande seront difficiles. Dans ce cas, il faut se dire que la démarche est complexe, mais pas impossible. Pour effectuer votre rachat de ce fait, soit vous disposer d’un bien immeuble, soit vous êtes un simple locataire. Dans le second cas, vous aurez à chercher le bon courtier et le bon établissement financier qui va accepter de regrouper vos crédits et de les racheter. Ce qui sera assez complexe étant donné que vous n’aurez pas de garanties à lui proposer pour assurer le remboursement. Dans le cas où vous trouvez un organisme acceptant le rachat de crédit alors que vous êtes enregistré au FICP, il est essentiel que le total des montants empruntés ne soit pas conséquent. Autrement, ce sera un blocage de plus. Il est aussi possible que l’organisme décide de ne prendre en charge qu’une partie des crédits que vous avez contractés et non la totalité. En d’autres termes, vous n’aurez pas la chance de demander un complément de crédit. Ensuite, pour les personnes qui ont à leur disposition un bien immeuble pouvant servir de garantie et qu’elles sont fichées au FICP, on leur attribuera un contrat de rachat de prêt avec une garantie hypothécaire. De ce fait, le bien fera l’objet d’une saisie dans le cas où le propriétaire ne peut pas assurer le paiement et en cas de défaillance. En d’autres termes, il est plus facile pour un propriétaire, même fiché au FICP, d’obtenir un rachat de prêt qu’une autre personne qui ne dispose pas de bien immeuble servant de garantie.

Les conditions à respecter

Si vous voulez effectuer un rachat de crédit alors que vous êtes inscrit au FICP, il faut se préparer à supporter des conditions et des démarches difficiles. En effet, les organismes financiers qui sont susceptibles d’accepter sont peu nombreux, mais vont aussi scruter à la loupe votre dossier, s’ils acceptent de l’étudier. Des critères stricts seront alors, demandés. Pour faciliter la démarche, vous pouvez passer par un courtier. Il en existe en France, qui se spécialise dans les dossiers qui sont difficiles à traiter dans ce cas. Cependant, il faut se préparer à débourser un certain montant et commission élevée pour le service étant donné que la situation est à problème. Vous devez aussi vous préparer à un taux d’intérêt appliqué à votre contrat de rachat de crédit qui soit relativement supérieur à un rachat classique, sans être fiché au FICP. Cela est dû au manque de concurrence, mais aussi, aux risques que vous représentez en étant enregistré dans ce fichier à la Banque de France. Pour terminer, si votre cas concerne la diffusion de chèque sans provision, il ne faut pas espérer une acceptation de dossier de recours à un rachat de crédit. Ce sera systématiquement refusé.

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L’isolation thermique est-elle obligatoire pour vous ? https://www.cabinet-immo.com/2025/02/05/lisolation-thermique-est-elle-obligatoire-pour-vous/ https://www.cabinet-immo.com/2025/02/05/lisolation-thermique-est-elle-obligatoire-pour-vous/#respond Wed, 05 Feb 2025 10:23:54 +0000 https://www.cabinet-immo.com/?p=1018 Comme tout le monde en France, vous êtes au courant que l’isolation thermique est rendue obligatoire depuis maintenant deux ans, plus précisément en 2017. Mais, vous vous demandez peut-être si réellement, vous êtes concerné par cette contrainte. Commençons par rappeler les raisons de cette loi concernant l’isolation thermique.

L’objectif de la loi

Réduire de moitié la consommation en énergie d’ici 2050 est l’objectif de la loi sur la transition énergétique. Et pour 2030, l’objectif intermédiaire est de 20 % de réduction. Il a été établi que le bâtiment est l’un des secteurs les plus énergivores, puisque presque 50 % de la consommation énergétique sur le plan national lui est imputée. Aussi, l’on ne s’étonne pas qu’un décret soit sorti le 31 mai 2016, obligeant la mise en place d’une isolation thermique dans le cadre des travaux de rénovation. Ce décret est entré en vigueur depuis le 1er janvier 2017 et il s’applique aussi bien aux bâtiments à usage commercial qu’aux bureaux et aux habitations, ainsi qu’aux bâtiments d’enseignement et aux hôtels. Mais, cela doit être respecté uniquement si des travaux de ravalement de façade sont entrepris, ou bien un aménagement des locaux ou encore une réparation ou une rénovation de toiture.

Dans quels cas l’isolation thermique est-elle obligatoire ?

Pour être plus clair dans nos propos, précisons ce qu’on entend par « ravalement de façade ». Il s’agit d’une réfection de l’enduit existant, de la mise en place d’un nouveau parement ou encore d’un remplacement d’un parement existant qui concerne au moins la moitié d’une façade du bâtiment, à part les ouvertures. En parlant de réfection de toiture, cela consiste à remplacer ou à recouvrir au moins la moitié de toute la couverture, sans compter les ouvertures. Et, s’il s’agit de transformer une pièce non habitable, peut-être votre garage, les combles ou autre, la surface concernée doit être au minimum 5 m². Dans le cas où le devis d’engagement de la prestation de travaux a été conclu et signé avant le 1er janvier 2017, vous n’êtes pas soumis à cette nouvelle loi sur l’isolation thermique.

Aides et accompagnements

Si vos moyens ne vous permettent pas de mettre en œuvre cette isolation thermique, sachez que vous pouvez bénéficier d’une aide financière. Il existe des aides individuelles et collectives dans le cadre d’une rénovation d’un immeuble en copropriété. Pour en bénéficier, confiez la réalisation des travaux à une entreprise certifiée RGE. Vous en trouverez une sur ce site.

Si vous habitez dans la capitale, la Ville de Paris prend les dispositions suivantes pour vous aider : un accompagnement personnalisé et non payant par des conseillers experts en éco-rénovation et des aides financières spécifiques pour votre projet de rénovation. Dans le cas où vous ne comprenez pas certains règlements en rapport avec l’isolation thermique, vous pouvez vous faire accompagner par un Conseiller de l’Agence Parisienne du Climat qui vous éclairera à titre parfaitement gratuit et en toute neutralité. Vous pouvez également recevoir des conseils, aides et accompagnements en vous inscrivant sur le site CoachCopro, dédié à l’éco-rénovation des copropriétés. Aussi, n’hésitez pas à poser des questions pour vous assurer si vous êtes ou non concerné par cette obligation.

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Les essentiels à connaitre concernant le crédit à la consommation https://www.cabinet-immo.com/2025/01/21/les-essentiels-a-connaitre-concernant-le-credit-a-la-consommation/ https://www.cabinet-immo.com/2025/01/21/les-essentiels-a-connaitre-concernant-le-credit-a-la-consommation/#respond Tue, 21 Jan 2025 13:43:52 +0000 https://www.cabinet-immo.com/?p=1010 Un crédit à la consommation est un prêt octroyé par une institution financière comme une banque, en vue d’aider une personne dans le besoin. Ce type de prêt s’applique à diverses utilisations, dont la banque ne demande pas de justificatifs à l’emprunteur. Voici ce que vous devez connaitre d’autres sur ce type de crédit.

Ses caractéristiques

Quand on parle de crédit à la consommation, il est essentiel de prendre également en compte, les procédures de protection des consommateurs. Ainsi, dans un premier temps, le montant qu’un emprunteur peut demander est plafonné. Ce plafond est de 75 000 euros, avec un capital minimum de 200 euros. Par ailleurs, afin de protéger le consommateur, il est également essentiel d’analyser sa capacité de remboursement. Des résultats de cette analyse, la banque ou l’établissement de crédit pourra définir le capital qui sera possible à prêter.

Ce type de crédit concerne, entre autre, les prêts personnels, les prêts pour l’achat d’auto ou de moto, les prêts travaux, mais aussi, les prêts associés à une procédure de location-vente ou encore, les crédits demandés dans le cadre d’une location avec option achat.

Outre ces points, la loi exige que le prêteur soit uniquement une institution de crédit, que ce soit un établissement de microfinance ou un établissement bancaire. Pour ce qui est de sa durée, ce crédit ne doit pas être inférieur à 3 mois, et n’excèdera pas les 5 ans. Autrement, il sera considéré comme un crédit gratuit à moins de 3 mois et un prêt immobilier par exemple, à plus de 5 ans.

Que doit-on voir dans un contrat de prêt à la consommation ?

Dans un premier temps, on doit toujours retrouver dans le contrat, l’objet du prêt. Il s’agira de savoir quel type de crédit vous avez souscrit. Ensuite, on devra aussi y retrouver le type d’intérêt appliqué. Il est nul si votre crédit est gratuit. Autrement, le taux devra être affiché, mais sous forme de TAEG ou taux annuel effectif global. Ceci étant, on devra également trouver sur le contrat, la durée du prêt. Cela peut varier selon le type de prêt à la consommation que vous avez souscrit. Si vous êtes étudiant, la durée peut aller jusqu’à 9 ans. Si c’est un prêt renouvelable, vous signerez un contrat de 1 an qui peut être renouvelé. Dans les détails de la durée, le contrat stipulera également, que vous n’avez pas le droit de rembourser la totalité du capital, avant termes. Autrement, il y aura une pénalité qui demandera à ce que vous indemnisiez le prêteur. Les conditions y afférentes seront dans ce cas, mentionnées dans le contrat.

Comment se fait le remboursement de ce type de prêt ?

Il existe deux types de remboursement quand on parle de crédit à la consommation. Soit, votre contrat vous dit qu’il sera échelonné, soit, le remboursement sera anticipé. Dans le cas d’un remboursement avec échelonnement, le prêt devra suivre un plan d’amortissement. Vous aurez alors, à payer un montant fixe tous les mois et cela, à une date bien définie. Si c’est un crédit gratuit, vous payerez par mois également, mais sans intérêt perçu par la banque. À savoir que les prélèvements mensuels se font automatiquement sur votre compte. Pour ce qui est du remboursement anticipé, il est possible que l’emprunteur rembourse plus que sa mensualité. Dans ce cas, sa banque lui assignera un montant planché à rembourser. Toutefois, il est possible également que la banque demande une indemnisation surtout, si la procédure demande l’injection et l’intervention de la garantie d’assurance. Cette indemnité est de 1 % du capital qui devait être remboursée si on a suivi le plan d’amortissement. Ce taux correspond également un capital de plus de 10 000 euros et dont la durée devait dépasser une année. Ce taux est à 0.5 % si cette durée est de moins d’une année.

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Sécurité incendie : rôle des consignes SSI et des moyens de secours https://www.cabinet-immo.com/2024/12/16/securite-incendie-role-des-consignes-ssi-et-des-moyens-de-secours/ https://www.cabinet-immo.com/2024/12/16/securite-incendie-role-des-consignes-ssi-et-des-moyens-de-secours/#respond Mon, 16 Dec 2024 09:44:12 +0000 https://www.cabinet-immo.com/?p=1002 Vous devez mettre en évidence des consignes SSI au sein de votre ERP ou ERT. Elles comportent des informations cruciales sur le matériel de sécurité incendie obligatoire pour votre entreprise, détaillent les étapes pour manipuler celui-ci correctement, fournissent les mesures de prévention collective et d’évacuation des personnes dans votre structure en cas d’incendie. Découvrez dans cet article leur rôle et celui des moyens de secours.

Les consignes de sécurité incendie : pour guider l’évacuation des personnes

Les instructions applicables en cas d’incendie, présentées sur un affichage durable, doivent être présentes au sein d’une entreprise recevant du public ou d’un établissement recevant des travailleurs. Si votre entreprise fait partie de ces deux catégories de structure, vous devez veiller à ce que ces consignes de sécurité incendie (que sont les plans d’évacuation et les affichages montrant l’emplacement des équipements de sécurité) soient placées dans des zones visibles.

Ces panneaux signalétiques doivent être présents dans des zones clés de votre société dans le but de :

  • Montrer les sorties de secours.
  • Montrer les emplacements des extincteurs, des alarmes, etc. pour aider les occupants et les professionnels intervenant contre le sinistre à limiter la propagation du feu.
  • Rappeler l’utilisation de l’extincteur, etc.

Ainsi, en cas de départ de feu dans votre société, grâce aux consignes de système de sécurité incendie, vous pouvez évacuer rapidement le bâtiment. Les informations sur certains panneaux incendie consignes de sécurité incendie indiquent quel matériel choisir pour maîtriser rapidement le feu dans votre immeuble et comment le manipuler en toute sécurité.
Vous réduisez ainsi les dommages de votre entreprise. Sur d’autres panneaux signalétiques se trouvent le contact des services de secours ainsi que les gestes à faire avant leur arrivée.

Les moyens de secours : pour agir en cas de départ de feu

L’incendie dans votre structure peut avoir de lourdes conséquences sur les plans humain et économique. Il a également un impact sur l’environnement. C’est pourquoi vous devez le prévenir, le contrôler et l’éteindre. Pour ce faire, vous pouvez mettre en place des moyens de secours à utiliser en cas de départ de feu au sein de votre structure. Ils comprennent :

    • Les extincteurs d’incendie : Les différents types, les étapes pour les activer et les précautions à suivre pour les manipuler correctement sont synthétisés sur les consignes SSI.
    • Les robinets d’incendie armés : Ils doivent pouvoir atteindre toute la surface de vos locaux. Veillez à bien signaler leur présence.
    • Les bouches et les poteaux incendie : Ils servent à raccorder les tuyaux utilisés par les sapeurs-pompiers.
    • Les colonnes sèches et humides.
    • Le système d’alarme incendie, incluant les sirènes et les détecteurs de fumée : Il alerte le public et les invite évacuer les lieux.
    • Le système d’alerte pour prévenir les secours extérieurs.
    • Les installations fixes d’extinction automatique.
    • Les couvertures anti-feu.
    • Les plans d’évacuation.
    • Les dispositifs de premiers secours.
    • Etc.

Ils sont essentiels pour protéger votre immeuble, les gens et les biens qui s’y trouvent en cas d’incendie. Vous devez veiller à ce qu’ils soient en bon état. Vous devez aussi vous assurer que votre personnel soit formé pour bien les utiliser.

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Les erreurs à éviter lors du nettoyage de votre toiture https://www.cabinet-immo.com/2024/11/20/les-erreurs-a-eviter-lors-du-nettoyage-de-votre-toiture/ https://www.cabinet-immo.com/2024/11/20/les-erreurs-a-eviter-lors-du-nettoyage-de-votre-toiture/#respond Wed, 20 Nov 2024 13:41:15 +0000 https://www.cabinet-immo.com/?p=993 Indubitablement, la première et la plus grosse des erreurs c’est de s’occuper soi-même des travaux ! Il faut toujours confier le nettoyage de votre toiture à un professionnel. Dans ce cadre, voici ce qu’il ne faut surtout pas faire.

Erreur 1 : Ne pas exiger un diagnostic ni un devis

Bien avant d’effectuer le nettoyage de toiture, un professionnel expérimenté digne de ce nom commence toujours par un diagnostic du toit. Cette tâche préalable lui permet de :

  • Détecter des problèmes cachés qui nécessitent une attention particulière lors du nettoyage.
  • Déterminer les traitements spécifiques nécessaires au nettoyage de votre toiture.
  • Suggérer des traitements de protection ou de rénovation (si nécessaire) à faire après le nettoyage pour assurer la longévité de votre toiture.
  • Réaliser un devis détaillé des travaux à faire. N’oubliez pas, plus un devis de nettoyage de toiture est détaillé, plus il vous protège contre les mauvaises surprises financières. Il est la base d’une transparence totale durant les travaux.

Dans le devis, les experts peuvent vous conseiller sur la fréquence idéale de nettoyage selon l’état de votre toiture. Il convient de noter que le diagnostic et le devis sont généralement gratuits.

Erreur 2 : Oublier de demander les types de produits utilisés par le professionnel

Pensez toujours à demander les types de produits utilisés par le professionnel pour en comprendre ses avantages pour votre toiture. Sachez que les produits professionnels de qualité sont spécialement conçus pour préserver l’intégrité des différents matériaux qui composent votre toiture. En clair, ils sont respectueux des supports.

Si vous êtes un écologiste engagé, ne manquez surtout pas de vérifier que les solutions professionnelles proposées par l’expert respectent les normes environnementales tout en étant efficaces.

Les traitements experts ont une action rapide et visible dès les premières heures suivant son application. Il existe également des produits à effet rémanent. Ils offrent à la toiture un nettoyage longue durée. Autrement dit, ils empêchent la réapparition rapide des mousses. Votre toit reste propre assez longtemps. Pour ces raisons, prenez le temps de vous intéresser aux techniques et produits utilisés par le nettoyeur de toiture.

Erreur 3 : Ne pas exiger une protection après le nettoyage de toiture

Demandez au professionnel s’il y a possibilité d’utiliser un traitement 2 en 1. C’est, par exemple, la caractéristique essentielle du traitement par hydrofuge à effet perlant : en plus de son action nettoyante, elle crée une protection autour de la toiture. Cette protection hydrofuge consiste en la formation d’une barrière invisible qui empêche l’humidité de pénétrer dans les matériaux de couverture. En effet, les traitements hydrofuges font naturellement glisser l’eau de pluie le long du toit rendant impossible l’installation de l’humidité. Autrement dit, les solutions hydrofuges professionnelles engendrent une protection longue durée contre les agressions climatiques et biologiques. La combinaison nettoyage et protection en une seule opération permet donc d’augmenter l’efficacité du traitement de la toiture.

Erreur 4 : Accepter l’utilisation d’un nettoyeur haute pression sur une toiture fragile

Le nettoyeur haute pression génère des nuisances sonores importantes qui peuvent déranger tout le voisinage pendant plusieurs heures. La puissance excessive du jet d’eau risque d’endommager sérieusement les tuiles fragiles ou déjà fragilisées. Par exemple, le nettoyage haute pression peut déloger les éléments de fixation, ce qui favorise les infiltrations d’eau dans votre toiture. L’utilisation inappropriée du nettoyeur haute pression peut réduire considérablement la durée de vie de votre couverture.

Erreur 5 : Accepter l’utilisation de produits contenant de l’eau de javel

L’eau de javel attaque progressivement la structure des matériaux et peut provoquer une décoloration irréversible des tuiles. Le chlore contenu dans l’eau de javel fragilise les joints et les raccords entre les éléments de toiture. L’utilisation répétée de produits javellisés, à chaque nettoyage de toiture, accélère le vieillissement prématuré de votre couverture et nécessite son remplacement anticipé. Enfin, et non des moindres, les vapeurs de javel représentent un danger pour la santé des personnes en plus d’endommager la végétation environnante.

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Quelques points à retenir sur l’assurance habitation https://www.cabinet-immo.com/2024/11/14/quelques-points-a-retenir-sur-lassurance-habitation/ https://www.cabinet-immo.com/2024/11/14/quelques-points-a-retenir-sur-lassurance-habitation/#respond Thu, 14 Nov 2024 17:53:11 +0000 https://www.cabinet-immo.com/?p=987 Sans assurance habitation, vous devez, en cas de sinistre, assumer seul la réparation de votre maison. Aussi, pour bénéficier d’indemnisation, intéressez-vous aux garanties qu’offre l’assurance habitation. Voyez ci-après les spécificités de ce type de contrat.

Le contrat d’assurance habitation

Avant de choisir une assurance habitation, prenez le temps de noter que :

  • Le contrat qu’on vous propose est au principe indemnitaire. Ce qui signifie que vous recevez une indemnité qui ne dépasse pas la valeur de l’élément assuré en cas de sinistre.
  • Les garanties du contrat couvrent votre habitat et son contenu ainsi que votre responsabilité civile, selon des limites et des conditions fixées.
  • Vous pouvez souscrire à d’autres garanties qui protègent par exemple vos animaux de compagnie, votre piscine, votre jardin, etc.

Assurance habitation : en quoi est-elle si importante ?

En souscrivant à une assurance habitation, vous couvrez vos biens matériels, votre propriété et ses occupants. Ainsi, en cas de sinistre, vous recevrez une indemnisation. Si vous voulez une protection maximale, vous pouvez choisir un contrat qui vous couvre en cas d’incendie, de vol, de catastrophe naturelle, et même lorsqu’il y a un dégât des eaux. Le plus important à retenir, c’est que vous pouvez choisir un contrat selon les garanties que vous voulez.

Mais quel que soit le type d’assurance habitation que vous souscriviez, avant de signer le contrat, vérifiez toujours les points suivants :

  • Les exclusions des garanties,
  • Le plafond d’indemnisation,
  • Le nombre de sinistres pris en charge chaque année,
  • La franchise à votre charge.

Comment choisir son assurance habitation ?

Puisque certaines garanties sont obligatoires et d’autres facultatives, vous pouvez avoir du mal à choisir celles qu’il vous faut. Pour trouver la solution d’assurance habitation idéale, vous devez :

  • Considérer vos besoins.
  • Déclarer à l’assureur le nombre de pièces que comporte votre maison.
  • Sélectionner judicieusement vos garanties en évaluant les caractéristiques de votre logement et la valeur de vos biens. N’oubliez pas de tenir compte des risques auxquels vous pouvez être exposé.
  • Voir la fiabilité de l’assurance.
  • Comparer les offres des assureurs.
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Aménagement de petit espace : quelle table choisir ? https://www.cabinet-immo.com/2024/09/13/amenagement-de-petit-espace-quelle-table-choisir/ https://www.cabinet-immo.com/2024/09/13/amenagement-de-petit-espace-quelle-table-choisir/#respond Fri, 13 Sep 2024 18:43:58 +0000 https://www.cabinet-immo.com/?p=980 Pour aménager une salle à manger restreinte ou une petite cuisine, il faut choisir avec beaucoup d’attention chaque meuble à y installer pour éviter que l’espace ne soit trop à l’étroit. La sélection d’une table à manger doit ainsi respecter les volumes.

La table idéale dans une petite salle à manger

Pour une petite pièce en longueur, optez pour une table rectangulaire. Ce choix facilite la circulation dans la pièce. Vos convives gardent une certaine liberté dans leurs mouvements et peuvent reculer leur chaise facilement.

Pour une pièce à la fois longue et un peu large, préférez une table moderne de forme ronde ou carrée. Ce modèle est à la fois convivial et permet de placer plusieurs personnes dans un espace restreint.

Si vous aimez recevoir, vous pouvez opter pour une table avec des rallonges. Petite astuce, si la pièce est vraiment petite, vous pouvez acheter une table extensible de type console. Quand vous avez besoin d’une table à manger, vous l’ouvrez. Une fois que vous n’en avez plus besoin, vous pouvez la replier pour servir de meuble décoratif.

Quelle table pour une petite cuisine ?

Les mêmes conseils sont applicables pour une petite cuisine. Cependant, il existe d’autres solutions qui s’offrent à vous comme une table haute pouvant être utile pour les apéritifs. Elle peut se positionner dans la cuisine ou servir de comptoir de bar. Vous pouvez y ajouter des chaises hautes ou des tabourets.

La table adossée à un mur est également une option intéressante si vous n’êtes pas nombreux. Elle peut servir de coin repas pour deux ou trois personnes. Certains modèles disposent de rallonges repliables. Ces derniers sont extrêmement pratiques. Si votre cuisine est en longueur, choisissez un plan snack qui se fixe le long du mur.

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Agent de sécurité : fiche métier https://www.cabinet-immo.com/2024/07/24/agent-de-securite-fiche-metier/ https://www.cabinet-immo.com/2024/07/24/agent-de-securite-fiche-metier/#respond Wed, 24 Jul 2024 12:58:25 +0000 https://www.cabinet-immo.com/?p=970 Un agent de sécurité est engagé pour assurer la sécurité des personnes, dont il a la charge ainsi que de leurs biens. Vous souhaitez devenir un professionnel du métier ? Dans ce cas, vous pouvez prendre en compte les points suivants.

Quelles sont les missions d’un agent de sécurité

Un agent de sécurité n’est pas autorisé à punir, en cas d’infractions dans la zone qu’il protège. Ainsi, votre rôle sera limité à la prévention et à la dissuasion. Autrement dit, vous serez amené à protéger et à surveiller un périmètre bien déterminé. Cela exige une aptitude à détecter toutes les anomalies. Vous devez aussi communiquer toutes les mesures de sécurité. Par ailleurs, il faut avoir un bon sens de l’accueil nécessitant une capacité de communication fluide.

Les qualités requises

Plusieurs qualités sont requises pour devenir un bon agent de sécurité. Vous devez en premier lieu posséder un bon sens de l’observation. La concentration est aussi importante dans ce domaine, sans oublier la forme physique. Il ne faut pas non plus négliger le self-control, vu que la situation peut changer d’un moment à un autre. Cela implique une grande réactivité sans céder à la précipitation. D’ailleurs, vous devez agir en fonction de la réglementation.

La formation à suivre pour être un agent de sécurité

Il faut, au moins, un CAP agent de prévention et de sécurité pour exercer ce métier. Mais, vous devez disposer d’une MC sûreté des espaces ouverts au public dans certaines situations. Un diplôme de baccalauréat pro sécurité-prévention peut aussi vous servir. Sinon, on peut évoquer le brevet professionnel d’agent technique de prévention et de sécurité. En dernier lieu, vous pouvez dénicher un bac+2 ou un bac+3 dans le domaine de la sécurité.

Évolution de carrière

Le métier d’agent de sécurité n’est pas offert à tout le monde, même si les femmes peuvent aussi l’exercer. En plus d’être majeur, il est indispensable d’avoir un casier judiciaire vierge. Vous devez avoir une carte professionnelle pour exercer dans le domaine. Cela est indispensable, même si un agent de sécurité n’est pas assermenté. Ainsi, l’obtention de la carte se fait au niveau de la préfecture. Elle est renouvelable tous les 5 ans. En tout cas, vous pouvez évoluer vers un poste d’opérateur de télésurveillance ou de chef de sécurité.

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